Travaille très intéressant.
Je m’en suis fait ma propre interprétation, peut être que je plante complètement, mais ce n’est pas grave ! Je la garde jusqu’aux explications des réalisateurs (et oui, ils sont trois !).
J’aime bien la première partie du film (métro-boulot-dodo, si c’est ce que j’ai compris !). Le coup du bandeau sur les yeux est sympa, puis flou et blanc. Sommes nous aveugle ou est-ce que nous nous cachons la vérité de n’être que des instruments ?
La seconde partie, plus classique, plus sensuelle aussi, est une jolie respiration dans ce film. On se pose enfin, on plane. Il y a une vie à côté de stress ! Du moins, caché au fond de nous… De l’espoir ?
Dernière partie, retour dans notre monde qui speed trop et qui nous empêche de respirer. La danseuse est habillée comme dans la seconde partie. Le plan d’au-dessus en bien vu. Est-on définitivement destiner à être avalé par l’hyperactivité de notre société ?.
Joli montage et la musique colle au délire visuel.
On sent qu’il y a du travail, de la réflexion et de la préparation ! C’est soigné.
Quelques petits bémols (faut bien que j’en trouve quelques uns !) :
- l’incrustation un peu moyenne de la danseuse, notamment pour les vues d’au-dessus de la dernière partie. Le sol n’étant pas totalement blanc, on devine les contours.
- les costumes ne m’ont pas vraiment charmé. Je n’ai pas compris ce choix.
- soit la danseuse est mal maquillée, soit elle ne l’est pas. Et du coup, sa peau n’est pas très jolie.
En tout cas, cela donne envie d’en voir d’autres, et vu que j’aime bien les danseuses…
C’est court, pertinent, et agréable à regarder.
Bravo !
J’attends les explications du réalisateur et réalisatrices de ce film !