J’ai l’impression que toutes ces petites phrases comme « l’humain voire l'humanité, est responsable d’avoir fait ci ou ça envers la planète » et d’autres choses dans ce genre sont quelque peu étranges.
Quel humain? Celui qui le pense vis-à-vis de ses erreurs sur son chemin ? Car il me semble que chaque être ne peut être responsable que de ce qui concerne son chemin, ses erreurs ou non, vis-à-vis de lui et des personnes concernées qu’il connaît sur son chemin. Car pour parler de l’humanité, il faudrait connaître toutes les personnes humaines en somme d’abord les rencontrer toutes personnellement, puis quoi ? Les juger responsables comment ? Même un dit occidental peut vivre d’une manière qui ressemblerait à un être d’un soit disant autre pays. Et qu’en plus, il ne serait pas à croire par là même que l’occidental pourrait être un être de ce pays, comme celui de cet autre pays un occidental. Car ces deux êtres ne déterminent pas tous les autres, tous différents de chacun des deux pays. Il n’est pas de notion de groupe, mais de particularité individuelles. En plus, ceci voudrait dire que les petits bébés venant de naître et les enfants des écoles selon nos types d’écoles et ceux d’autres types d’école dans d’autres endroits aussi civilisés et développés à leurs manières c’est tout, seraient eux aussi responsables ?
Quand on vote dans une association, on vote toujours à l’unanimité. Pourquoi ? Car, dès qu’une seule personne dit non, on doit laisser tomber l’idée. Car il faut toujours rendre service aux autres. On passe son temps dans la notion de travail à rendre des services et même sans savoir qu’en maintes occasions on travaille alors aussi. Et l’on rend service qu’à ceux qui nous demandent personnellement des services.

D’autre part, tout ce qui est présent dans la nature, corps minéral, végétal, animal, liquide et d’autres peut-être encore inconnus, sont constitués et survivent alimentairement par tout ce qui se trouve dans l’air : soit les éléments chimiques. Donc, l’humain est naturel et tout ce qu’il fait est fait naturellement. Et toute création est constituée de ces éléments dans l’air et donc pourquoi un gaz d’automobile, comme d’usine est polluant, en sachant qu’à l’état de gaz, les éléments ne se mélangent pas, mais se rangent dans leurs strates respectives.
D’autre part, s’il serait à répondre quel est l’être vivant semblable à l’humain donc animal qui dirigerait et même sans le savoir et sans avoir la prétention de le dire, ce serait peut-être l’abeille ou autre chose que je n’ai pu encore rencontrer sur mon chemin.
Et qu’en su, le pétrole, on n’est pas obligé d’aller je ne sais où en chercher, car avec tout ce que l’on a, on peut en fabriquer soi même. Et heureusement que le corps est intelligent, car avec tout ce qu’on mange, on serait un bombe envers nous même.

Les choses changent d’elles même. Vouloir changer des choses selon une idée contraire à une autre qui serait, ne ferait au final que reproduire le même schéma même avec autre chose.
Si l’on sait répondre au pourquoi on ne peut imposer à quelqu’un de changer (et se n’est pas une question d’affaires personnelles), on sait alors que l’on ne peut vouloir que l’humanité change.

Il n’y a pas de notion de groupe, quand cette notion se réfère à une idéologie et tout ce qui va naître derrière : rituels, manières, pensées… Comme une famille ne requiert pas de clones.
La notion de groupe peut être par exemple au niveau corps de métiers, car tous les métiers sont reliés les uns aux autres. Et parfois, imposer une loi à un corps de métier, oui, ce peut être un peu grave.

Le bio, le chimique, la phyto qui est de la chimie et qui en somme veulent signifier que par ce qu’on mange on vit en bonne santé. Et pas avec tant de fruits ou légumes par jour, mais selon les besoins du corps de chaque individu au moment où il faut qu’il mange, par rapport à ce qu’il peut avoir comme nourriture, voire pourquoi pas vis-à-vis de ce qu’il aime. Et qu’en sus, il n’est que l’individu pour le savoir.
Maintenant, tous ces slogans propagandes du quotidien, que certains qui veulent être d’accord le soient surtout s'ils ne prennent pas ça pour un slogan et que ceux qui s’en foutent puissent aussi pouvoir toujours s’en foutre.

Et que quand bien même on mourrait sous une guerre par ce que soit disant on serait ci ou ça pour ci ou ça sous une notion de généralité quelconque, qu’importe. Les troupeaux de vaches que l’on abat à cause d’une vache malade, si elles savaient toutes le pourquoi ont les a tuées, peut-être qu’elles en riraient. Car elles sont en harmonie, comme parfois on peut l’être. Bien qu’il est toujours ce moment,on se met à râler, car soudain on a pensé envers quelqu’un à nos petites affaires, alors que finalement on avait réussi à ne pas voir que l’on en avait.


Quand on pense qu’en faisant de l’art, on pense à tout faire pour ne pas montrer sa pensée et ça prend des heures de cogite et de savoir écrire, afin que toutes pensées soit possibles envers l’œuvre. Il en est toujours pour croire que l’auteur a voulu dire ci ou ça, sans voir qu’il ne s’agit que de sa propre vision personnelle par rapport à un passage que l’on trouve intéressant pour son chemin. Et que c’était ça seulement le but de l’œuvre.

C’est comme lorsque l’on pense qu’une personne vient de parler ou d’agir sagement. Ceci est pour celui qui le voit. En sachant que peut-être nous aussi avons un jour agit sagement et sans le savoir, comme cette personne dont on parle.
Aimer, quand on aime et que l’on nous pose la question du pourquoi on aime telle chose ou quelqu’un, on se trouve presque dans l’impossibilité d’y répondre.

La vie est tellement belle, quand elle est simple, comme toujours.

Petit coup de gueule, comme tous: ridicule.